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Découvrez Hakisa, le lauréat French IoT qui humanise l’internet des objets

Telegrafik et Hakisa sont toutes deux lauréates du programme French IoT et présenteront au CES de Las Vegas en janvier 2016 leurs technologies innovantes de maintien à domicile et de hub social.

Ce concours, organisé par le Groupe La Poste, a été l’occasion pour ces deux entreprises d’itérer ensemble afin de proposer de nouveaux services ayant pour but de protéger les seniors et de rassurer leurs proches, grâce à leurs technologies.

 

Hakisa : la technologie de hub social

Hakisa développe une technologie de hub social qui facilite le quotidien des familles. Il s’agit d’un espace digital sécurisé qui dispose de toutes les fonctionnalités d’un réseau social familial (messagerie, vidéoconférence, agenda partagés, photos, actualités, etc.), met en avant des services et contenus utiles, et humanise les objets connectés.

La technologie Hakisa récupère les informations pertinentes des objets connectés de ses partenaires et les diffuse à une communauté privée d’utilisateurs. Cette communauté peut ainsi communiquer autour de ces informations et agir en cas de besoin.

Logo-Hakisa-long

 

Des solutions plus humaines pour l’internet des objets

C’est en s’attachant d’abord à la compréhensiondes besoins et usages des familles qu’Hakisa a développé sa technologie qui permet une véritable interaction entre humains et objets connectés.

Cette dernière peut, par exemple, être mise au service du bien-vieillir et de la sécurisation du domicile.

Concrètement un senior vivant dans une maison équipée de solutions domotique va impliquer sa communauté de proches et aidants dans son bien-être.

Le senior va les inviter à recevoir des alarmes provenant des objets connectés de son domicile. En cas de situation anormale, la communauté va recevoir une alarme (depuis un hub social, par SMS, sur Facebook ou par mail), va pouvoir communiquer, prendre en charge la situation et se tenir informée de son évolution.

Aujourd’hui Hakisa propose aux familles son propre hub social gratuit (www.hakisa.com) et met deux solutions à disposition des professionnels.

hakisa-social-hub-famille-ecran-tagline

 

Partageant la vision d’une technologie humaine, utile, pertinente et sécurisée,  Telegrafik et Hakisa, acteurs de la Silver Economie, présenteront leurs solutions qui facilitent le bien-vieillir à domicile lors du CES 2016 de Las Vegas aux côtés du Groupe La Poste et de l’équipe French IoT.

Telegrafik sera présente au CES® Las Vegas 2016 !

Telegrafik fait partie des 15 start-up lauréates du programme « French IoT » lancé par Le Groupe La Poste, et qui pourront dévoiler leurs innovations sur le stand de la Poste lors du CES® (Consumer Electronics Show) de Las Vegas qui aura lieu du 6 au 9 janvier 2016.

Nous étions donc présents le 21 octobre au CES Unveiled Paris, l’occasion pour nous de faire le point sur les nouveautés de la prochaine édition du salon.

 

Les nouveautés du CES® 2016 

Le CES est LE salon mondial de l’innovation permettant aux acteurs du monde entier de découvrir et de dévoiler les futures innovations technologiques et d’usages. L’année dernière, plus de 170 000 visiteurs de 153 pays différents ont fait le déplacement.

Gary Shapiro

Durant le CES Unveiled Paris, Gary Shapiro, Président de la Consumer Electronics Association a mis en avant les nouveautés de l’événement 2016, comme notamment :
– les speakers des keynotes : Brian M. Krzanich (PDG d’Intel) et Dr. WP Hong (Président et directeur marketing de Samsung),
– la création de deux nouveaux « marketplaces » : Accessibilité et Réalité augmentée,
– l’ajout d’un nouveau bâtiment : Tech South avec le C Space, qui sera le haut lieu pour les chefs de produit marketing, les publicitaires, les agences de publicité, les réseaux sociaux….


Telegrafik lauréate de l’IoT15-15, programme d’hyper-accélération du Groupe La Poste

Philippe Wahl, PDG du Groupe La Poste, a ensuite mis en lumière sa stratégie numérique avec la création du HUB numérique. En 2015, le Groupe La Poste a lancé le programme « French IoT », qui a pour objectif faire émerger les futurs champions français de l’Internet des Objets et de fédérer une filière dynamique, pérenne et audacieuse. Les 15 start-ups sélectionnées bénéficieront de l’accompagnement de La Poste ainsi que de quatre industriels français : Atol, BNP Paribas Real Estate, Legrand, et Malakoff Médéric. Elles incarneront au CES® 2016, la première délégation « French IoT » qui concourra au rayonnement de la filière française de l’Internet des Objets sur la scène internationale.

French iotDavid De Amorim, directeur innovation chez Docapost, et Déborah Parès, chef de projet Open Innovation chez Telegrafik

ILS PARLENT DE NOUS : Qualinews

Objets connectés : enfer ou paradis ?

Article paru le 22 octobre 2015, Auteures : Esther Gagneux, Lucie Blaix

 

La table ronde organisée par Le Monde à l’Opéra Bastille le 27 septembre 2015 avait pour thème « Objets connectés, enfer ou paradis ? »

Pour voir la table ronde : cliquez ici

On entre dans l’ère de la connexion permanente : comment apprivoiser ces fameux objets et services connectés qui vont envahir notre quotidien et le transformer ?

Changer le monde

Un potentiel fort des objets connectés

Dans le domaine de la santé, les objets connectés ont un potentiel énorme, comme explique Carole Zisa-Garat, qui a créé l’entreprise Telegrafik qui propose des services connectés intergénérationnels, pour le maintien à domicile des personnes fragilisées :

« On transforme des données issues de capteurs dans des logements via notre plateforme logiciel d’intelligence artificielle en service d’alerte qui permet à des personnes à leur domicile de faire l’objet d’une vigilance bienveillante. »

On peut savoir par exemple si une personne a bien pris ses médicaments, en plaçant un capteur sur le pilulier.

La difficulté réside dans le traitement des données et la réaction en cas de problèmes : la chaîne de services et l’écosystème qui suivent doivent communiquer parfaitement.

Pour un bon fonctionnement de ces objets connectés, dans tous les secteurs, il y a donc des écosystèmes à construire : les données devront être échangées entre les villes, entre les citoyens, entre les professionnels, etc.

[…]

La nécessité de plateformes communes

Carole Zisa-Garat exprime le besoin de « pouvoir s’appuyer sur des plateformes avec des protocoles unifiés, qui fassent qu’on n’ait pas à redévelopper forcément une interface avec chaque plateforme puisque chaque commune commence à créer sa propre plateforme. »

Les objets connectés doivent pouvoir communiquer entre eux par le biais de ces plateformes communes.

C’est donc ici un gros enjeu technique qu’il s’agit d’aborder, en « gagnant la bataille des normes techniques » expliquée par la Secrétaire d’État au numérique.

Les acteurs des objets connectés doivent donc rassurer le public sur ses réticences, mais aussi créer un arsenal permettant une communication entre les différents objets, et une véritable protection des données

 

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ILS PARLENT DE NOUS : LA TRIBUNE, L’INFORMATION BOURSIÈRE, ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE QUOTIDIENNE EN LIGNE

Carole Zisa-Garat, « Cheffe » en « silver » économie

Article paru le 14 octobre 2015, Auteur : Alexandre Léoty  

 

Carole Zisa-GaratCarole Zisa-Garat, fondatrice de Telegrafik

À 35 ans, cette ancienne directrice de cabinet du n° 2 du groupe Renault préside la startup Telegrafik, spécialisée dans les systèmes d’alerte pour personnes âgées isolées.

Elle est aujourd’hui l’une des porte-drapeaux de la French Tech toulousaine, citée en exemple par les startuppers de la Ville rose et reconnue pour son énergie débordante. Pourtant, à 35 ans, Carole ZisaGarat a déjà eu deux vies. Cette Toulousaine, qui dirige la startup Telegrafik, spécialisée dans les systèmes d’alerte pour personnes âgées isolées, a en effet commencé sa carrière très loin de l’univers des objets connectés et de la silver économie. Diplômée de l’École des Mines de Paris à l’âge de 22 ans, la jeune femme a immédiatement intégré le groupe Renault, à Paris.

 

[…]

Ambition et caractère, la jeune femme n’en manquent pas

[…]

Et de la détermination, Carole Zisa-Garat a su en faire preuve lorsqu’elle a décidé de quitter la région parisienne pour élever ses jumeaux à Toulouse, près de sa famille.

« En dix ans chez Renault, j’avais beaucoup appris, estime-t-elle. Les différents postes que j’avais occupés m’avaient permis d’approcher de nombreux métiers et de découvrir toutes les strates de l’organisation, de l’usine à la direction générale. »

Mais la jeune femme l’assure, bien qu’intégrée au sein d’un grand groupe, elle ne s’est « jamais sentie sur des rails pour trente ans ». Et le désir d’entreprendre était trop fort pour pouvoir lui résister. « J’ai toujours eu le souhait de tenir les manettes, d’être maîtresse de mon destin, confie-t-elle. Dans un grand groupe, on n’a jamais tous les leviers. »

Après avoir travaillé sur un premier projet d’entreprise avec un associé, Carole Zisa-Garat décide finalement de créer sa société, seule, en 2013. Elle choisit la silver économie et l’Internet des objets, des secteurs porteurs.

« J’avais eu l’occasion de vivre un marché en crise, explique-t-elle. Je souhaitais viser un marché en forte dynamique de croissance. »

Une intuition qui, pour le moment, s’avère payante. Carole Zisa-Garat a ainsi reçu en mai dernier le Prix La Tribune Jeune Entrepreneur dans la catégorie « Innov & Connect ». Et sa société de sept salariés, soutenue par Orange et BNP Paribas Cardif, a récemment lancé la commercialisation de sa plateforme logicielle. Un service de téléassistance connecté, basé sur des capteurs de mouvements, équipe le domicile des personnes âgées.

C’est un nouveau challenge pour la dirigeante, qui se définit « comme une cheffe d’orchestre jouant de tous les instruments ».

Sa collaboratrice Déborah Parès confirme :

« Carole sait comment motiver son équipe. Et elle laisse sa chance à tout le monde. »

Telegrafik, qui devrait atteindre les 200.000 euros de chiffre d’affaires cette année, envisage une levée de fonds en 2016 pour accompagner son développement. La startup souhaite équiper 100.000 clients dans les quatre prochaines années.

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MODE D’EMPLOI

– Où la rencontrer ? « En se rendant à Ekito, l’accélérateur de startups, à Toulouse. »

– Comment l’aborder ? « Avec des idées de nouveaux partenariats et de nouvelles synergies commerciales ou technologiques. »

– À éviter ! « De me parler de projets à deux ans ! »

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TIME LINE

  • 1980 Naît à Clermont-Ferrand et arrive à Toulouse à l’âge de deux ans.
  • 2002 Diplômée de l’École des Mines, elle intègre le groupe Renault.
  • 2005  Gère 120 personnes à l’usine Renault de Flins-sur-Seine.
  • 2009 Renault lui confie un projet de refonte de sa stratégie après-vente et services.
  • 2010 Secrétaire exécutive auprès du n° 2 du groupe Renault.
  • 2013 Fonde la société Telegrafik à Toulouse.
  • 2016-2020 Objectif : 100.000 clients équipés.

 

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L’internet des objets : The next big thing ! 

Nous sommes à l’aube d’une révolution. Cette révolution va nous permettre d’accéder à de nouveaux types de services connectés. Néanmoins, cette révolution implique des risques et des challenges que nous allons devoir surpasser afin d’être à même de faire émerger l’innovation.

L’internet des objets est une révolution qui va nous faire passer d’une économie des produits à une économie des usages. Nous pourrons ainsi travailler à la réduction massive des inefficiences, mettre mieux en adéquation l’offre et la demande, ou encore optimiser les chaînes logistiques. Ce qui n’est pas un vain mot lorsque l’on sait que 50% de la production alimentaire mondiale n’atteint pas nos estomacs. On peut également s’attendre à ce que l’internet des objets se fonde dans nos vies, rende nos parcours clients plus fluides, nous permette d’optimiser à large échelle les consommations d’énergie, nous facilite la vie,  améliore notre santé, favorise des découvertes scientifiques, et favorise la prévention, comme celle des chutes chez les personnes âgées. L’impact sera également fort dans les secteurs agricoles et industriels.

Internet_of_thingsThe internet of things, par wilgengebroed

Néanmoins, pour favoriser cette évolution et pouvoir bénéficier de ce Progrès, il faudra dans les prochaines années savoir s’organiser pour pouvoir faire émerger l’innovation.

En effet, techniquement, l’internet des objets et tout son potentiel reposent sur :
1) Des objets communicants par eux-mêmes, et qui deviennent de plus en plus intelligents.
2) Des objets qui parlent entre eux (exemple de la domotique, qui permet de faire interagir dans une maison le système de chauffage et les commandes des volets).
3) Le Big Data : tous les objets fournissent une foultitude de données, et c’est l’analyse massive de cette grande volumétrie de données hétérogènes et idéalement interopérables qui permet des services d’une autre échelle (exemple des smart grids).
4) L’Open Data : la mise à disposition des données entre entreprises, et les consommateurs et citoyens (Ex : smart city).

Donc pour arriver à bénéficier de l’internet des objets et favoriser cette évolution, il faut que les données soient interopérables, qu’elles soient accessibles, que leur potentiel puisse être exploité via le Big Data et l’Open Data. Les plateformes Internet des Objets auront dans ce domaine un rôle majeur à jouer.

 

Nous ne proposons pas de réponses figées à la question de l’internet des objets et de son évolution dans cet article mais plus une ouverture au débat, alors n’hésitez pas à donner vos avis en commentant cet article pour enrichir la réflexion.

ILS PARLENT DE NOUS : Côté Toulouse, toute l’information à Toulouse et son agglomération

Innovation. Comment Toulouse prend soin de ses seniors

Article paru le 28/09/2015, Auteurs : Hugues-Olivier Dumez (avec Anthony Assémat)

Face au papy-boom, plusieurs expérimentations portent sur le maintien à domicile comme à L’Union, dernier exemple en date. Tour d’horizon des solutions qui existent à Toulouse.

La Ville rose prend soin de ses cheveux blancs. Alors que la semaine Senior a eu lieu à Toulouse et s’est achevée dimanche 27 septembre, plusieurs start-up innovantes sont en train d’éclore dans l’agglomération à l’image de Telegrafik. Une expérimentation est en cours à L’Union, dans cinq domiciles.

La start-up toulousaine développe Otono-me, un service de télésurveillance rendant obsolète le traditionnel médaillon de téléassistance que l’on porte sur soi.

Notre dispositif est non-intrusif, souligne Carole Zisa-Garat. Plusieurs capteurs sont installés dans le domicile de la personne. Dès qu’une anomalie est détectée, une alerte est automatiquement envoyée par SMS aux proches ou vers un plateau d’assistance.

De son côté, Marc Péré, maire de L’Union, justifie. « Nous devons proposer des réponses modernes à l’isolement et au maintien à domicile. 15 % de notre population est âgée de plus de 75 ans ! Cette opération pilote nous permettra, après une période probatoire de 3 mois, d’en vérifier la pertinence. »

[…]

 

Lien vers l’article complet : ici

Carole Zisa-Garat était au Monde Festival : 3 jours pour changer le monde !

 

Dimanche 27 septembre 2015, Carole Zisa-Garat a participé à la table ronde « Internet des Objets, Enfer ou Paradis », durant le Monde Festival. Le thème pour l’édition 2015, ayant eu lieu les 25, 26 et 27 septembre à Paris, était : Changer le monde
Pour cette deuxième édition, étaient conviés entre autres Anne Hidalgo, Emmanuel Macron, Thomas Piketty, Matthieu Ricard, Evgeny Morozov, Jordi Savall…

 

Carole Zisa-Garat_Le Monde Festival

 

Cette table ronde a été animée par Vincent Giret, avec autour de la table Axelle Lemaire, Secrétaire d’Etat chargée du numérique auprès du ministère de l’économie, de l’industrie et du numérique, Pierre Louette, Directeur Général Adjoint, Secrétaire Général du Groupe Orange et Séverine Dumont, CEO de Joshfire, agence spécialisée en objets connectés et expériences interactives sur mesure.

Carole Zisa-Garat a eu l’occasion de rappeler que tout le potentiel de l’internet des objets réside dans l’interopérabilité des données.

 

En savoir plus : ici 

ILS PARLENT DE NOUS : France 3, JT national 12/13

Article paru le 28 septembre 2015

Une innovation technologique pour le maintien à domicile des personnes âgées

Une entreprise toulousaine a inventé des capteurs de présence. Ils permettent d’alerter les proches d’un éventuel problème.

À 90 ans, Lisette Furcatte est encore très alerte. Pas question pour elle de quitter son domicile. Des petits capteurs ont été installés chez elle, à L’Union (Haute-Garonne). Pendant trois mois ils vont enregistrer ses mouvements et détecter la moindre anomalie.

Révolutionner le secteur

« Si elle a l’habitude de passer 30 minutes dans son jardin et qu’un jour elle y passe beaucoup plus de temps (…), là on le détecte, on voit que c’est une anomalie d’activité et on envoie un SMS à ses proches« , explique Déborah Parès de Télégrafik, jeune start-up toulousaine à l’initiative du projet.
Sa fille a ainsi la possibilité de consulter à distance ses déplacements.
Après seulement deux ans d’existence, Télégrafik veut révolutionner le maintien de la personne à domicile. « La personne n’a rien à porter sur elle, elle vit comme d’habitude et c’est nous qui veillons sur elle« , affirme Déborah Parès.

 

Lien France TV : ici

ILS PARLENT DE NOUS : France Inter, France Bleu, radios publiques

Toulouse : des seniors isolés testent la maison connectée

Article paru le lundi 14 septembre 2015, Auteur : Olivier Lebrun

Des capteurs installés dans leur logement surveillent leurs moindres faits et gestes. A l’Union près de Toulouse, cinq personnes âgées expérimentent le système « Otono-me ». Reportage, alors que ce mardi le projet de loi sur « l’adaptation de la société au vieillissement » revient à l’Assemblée.

Alors que l’Assemblée Nationale examine en deuxième lecture, à partir de ce mardi 15 septembre 2015, le projet de loi sur « l’adaptation de la société au vieillissement », on parle d’une enveloppe de 375 millions d’euros pour aider au maintien à domicile des personnes âgées, avec des aides financières pour équiper les logements en systèmes de télésurveillance. A L’Union près de Toulouse, on expérimente la maison connectée. Des capteurs ont été installés au domicile de personnes âgées isolées, en cas de chutes ou de comportement anormal, ils alertent les proches ou une plateforme d’assistance.

A L’Union, une commune touchée par le vieillissement de ses habitants, 15% de la population a plus de 75 ans, et l’objectif est de sécuriser le maintien à domicile des personnes âgées isolées.

Pour la personne âgée, plus besoin d’appuyer sur un bouton en cas de danger, ce nouveau système intuitif va plus loin que le traditionnel médaillon de téléassistance. Carole Zisa-Garat, la présidente de la start-up toulousaine Telegrafik a mis au point cette maison connectée.

Otonome, le service d'alerte pour personnes fragilisées à leur domicile - Radio France
Otono-me, le service d’alerte pour personnes fragilisées à leur domicile © Radio France – Olivier Lebrun

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Lien vers l’article complet : ici

ILS PARLENT DE NOUS : La dépêche du midi, quotidien régional français

Des seniors seuls testent la vie en habitat connecté

Article paru le 13 septembre 2015, Auteur : Emmanuel Haillot

 

Dans sa jolie maison située rue des Pervenches, Lisette Furcatte apprécie l’été indien. À 92 ans, cette Unionaise y vit seule mais savoure toute même chaque journée qui passe. Chaque recoin du pavillon est le reflet de sa vie, de sa personnalité aussi. Pour rien au monde, elle n’abandonnerait son domicile ! «Plutôt mourir que d’aller en maison de retraite !». On l’aura compris : la solution pour accompagner ses très vieux jours n’est pas celle-ci. En revanche, lui apporter une surveillance à la fois performante, discrète et rassurante pour sa famille, ça, oui. C’est dans cet objectif que la vieille dame (encore très vive ! a accepté de participer à une expérimentation technologique. Pendant plusieurs semaines, tout comme quatre autres personnes âgées vivant chez elles, son domicile a été équipé du système de télésurveillance Telegrafik, inventé et développé par la société éponyme.

La start-up Toulousaine, née il y a deux ans, est soutenue par la Région Midi-Pyrénées, le Laas-CNRS, Orange Fab, Ekito… Elle propose de suivre la vie quotidienne de la vieille dame à travers des capteurs infrarouges connectés par une box GSM. L’ensemble modélise la mobilité avec des algorithmes (!). Plus simplement, l’absence de mouvement ou une anomalie dans leur fréquence est repérée. Cette déviance se transforme en alerte. Exemple : une personne toujours dans son salon au milieu de la nuit est source d’interrogations. Cette présence inhabituelle est alors signalée automatiquement soit à un organisme, soit aux familles qui reçoivent un signal sur leur smartphone via une application spécifique.

Grâce à ce système, Telegrafik a séduit la Métropole toulousaine dans sa démarche «Smart City» visant à construire la ville de demain à travers les nouvelles technologies. Mais elle a surtout trouvé un écho favorable à L’Union, ville particulièrement adaptée aux essais…

15 % de la population a plus de 75 ans

[…]

À la tête de Telegrafik, Carole Zisa-Garat parle déjà de «tests concluants». Elle précise : «On est en plein dans l’aire des objets connectés. Plus besoin d’appuyer sur un bouton en cas de problème. Nous imaginons déjà développer la technique sur des ouvertures de portes. La phase qui suit est la recherche du modèle économique via les professionnels de la téléassistance et les mutuelles. On réfléchit à un abonnement entre 20 et 40 euros. Les personnes ‘’ pilotes ‘’ sont favorables à ce système. Et nous aimerions, bien entendu, convaincre le Conseil départemental que nos installations peuvent accompagner les bracelets d’alerte fournis aujourd’hui aux personnes seules».

La gentille mamie visitée ce jour a en effet le sien. Elle ne rechigne cependant pas être équipée du système Telegrafik qui, dit-elle, «ne se voit pas dans la maison» et «met en confiance» mais à condition, insiste la dame, «qu’il ne lui coûte pas cher». Telegrafik a entendu le message. À elle désormais de tout faire pour transformer l’essai, pourquoi pas à L’Union, mais aussi, comme elle le souhaite «dans l’Hexagone», et «dans la foulée à l’international».

 

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ILS PARLENT DE NOUS : L’EXPRESS, magazine d’actualité économique hebdomadaire

Carole Zisa-Garat
La téléassistance revue et corrigée

Article paru en juin 2015

Telegrafik, la société créée en 2013 par Carole Zisa-Garat, 35 ans, est née d’un constat inquiétant : « Les appareils de téléassistance permettant de secourir les personnes âgées en difficulté ne sont efficaces qu’à 25 %. Pour une sécurité totale, je propose un nouveau système d’alerte : des capteurs de mouvements placés dans les pièces stratégiques de la maison. »
L’idée est une réussite. En moins de deux ans, Carole Zisa-Garat a déjà équipé une centaine de logements et vient de recevoir le prix Jeune Entrepreneur BNP Paribas/La Tribune dans la catégorie « Innov & Connect ».

Le service Senior Care suscite l’enthousiasme du public à Futur en Seine

Telegrafik et Orange ont présenté la semaine dernière à Futur en Seine Senior Care, service connecté visant à protéger les personnes âgées isolées. Ce Festival du numérique européen a accueilli de nombreuses personnalités telles que Axelle Lemaire (Secrétaire d’Etat en charge du Numérique), Guillaume Pépy (PDG de la SNCF) ou encore Eric Larchevêque (PDG de Ledger et Fondateur de la Maison du Bitcoin).

 

Le service Senior Care, téléassistance nouvelle génération pour personnes âgées isolées

Grâce aux capteurs de présence (ni caméra, ni micro) installés au domicile de la personne âgée, celle-ci est protégée. En cas de problème ou de détection de fragilisation, une alerte est envoyée directement vers ses proches par SMS. Une application smartphone leur permet également de vérifier si tout va bien et d’être rassuré en un clin d’œil. 

Durant le salon, différents scénarios de la vie quotidienne ont été mis en place afin de mettre en lumière l’étendue ainsi que l’utilité du service.

Une maison miniature équipée d’un écran d’ordinateur dans le fond permettait de matérialiser l’action des capteurs, c’est-à-dire la détection assurée par le capteur en fonction d’un scénario donné.

Futur en seine_Telegrafik_senior care

Exemple : Ma mère ne s’est pas levée et n’a pas pris son petit-déjeuner ce matin.
Une alerte par SMS m’a été automatiquement envoyée par Senior Care pour me prévenir.
J’accède ensuite à l’application smartphone pour avoir plus d’informations concernant l’alerte. Je téléphone à ma mère pour vérifier que tout va bien.

Stand-Futur-en-Seine(Détection du capteur de la chambre matérialisée sur l’écran)

alerte-client(Message d’alerte sur l’application smartphone)

 
Conclusion : le stand de Senior Care a été plébiscité par le public des particuliers et des professionnels présent lors de l’événement. Le service innovant d’alerte et de monitoring pour personnes âgées à domicile a été jugé très utile pour les familles et pour favoriser le maintien à domicile des personnes âgées, et a donc fait l’unanimité.

Si vous voulez avoir plus d’informations concernant Senior Care, n’hésitez pas à nous contacter par mail : contact@telegrafik.eu

ILS PARLENT DE NOUS : Habitat et technologies, magazine d’actualité métier, de toutes les technologies du résidentiel et du tertiaire

Article paru le 28 mai 2015, auteur : Frédéric Monflier

Du médaillon à la domotique

Dossier Habitat & Technologies

[…]

Bannir l’approche en silo

[…]
Des sociétés comme OTONO-ME réalisent partiellement ce travail en proposant des systèmes pré-intégrés sur base Intervox-Legrand ou Home Live/MyPlug d’Orange. Ainsi OTONO-ME paramètre du matériel Intervox en ajoutant l’horodatage aux données fournies par les capteurs de mouvement, afin que la supervisation d’activité et d’alerte soit optimale. « L’actimétrie est notre cœur de métier, explique Carole Zisa-Garat, la fondatrice d’OTONO-ME. Le domoticiens sont nos partenaires : ils agrègent les données sur notre plateforme logicielle, accessible en mode SaaS (Software as a Service), nous les interprétons et leur restituons des consignes de suivi et d’alerte. » 
Une collaboration qui permet aux domoticiens d’entrer dans une vraie dynamique de services.

Ils parlent de nous : La Tribune, l’information boursière, économique et financière quotidienne en ligne

Article paru le 14 avril 2015, auteur : Loïc Molinier

Carole Zisa-Garat, la lauréate toulousaine du Prix Jeune Entrepreneur La Tribune

Ce lundi 13 mai 2015 a eu lieu, au Grand Rex à Paris, la cérémonie « 1 000 startups pour changer le monde« , organisée par La Tribune. Lors de cet événement dédié aux startups a été révélé le palmarès du Prix La Tribune Jeune Entrepreneur qui récompense depuis trois ans les meilleurs « startuppers » français. Cette année, la Toulousaine Carole Zisa-Garat a été distinguée dans la catégorie « Innov&Connect » avec sa société Telegrafik.

 

Lien vers l’article complet : ici

Carole Zisa-Garat est lauréate du prix BNP Paribas La Tribune Jeune Entrepreneur Innov & Connect !

Le 13 avril 2015 au Grand Rex à Paris, Carole Zisa-Garat a reçu le Prix BNP Paribas La Tribune Jeune entrepreneur dans la catégorie Innov & Connect, lors de l’événement « 1000 start-up pour changer le monde ».

Devant 2800 personnes dont Emmanuel Macron, Ministre de l’Économie, de l’industrie et du numérique, et Axelle Lemaire, Secrétaire d’État chargée du Numérique, Carole Zisa-Garat a été récompensée pour les travaux menés entre Telegrafik et BNP Paribas, et de façon générale pour son parcours d’entrepreneur et les démarches d’open innovation engagées.

Ce trophée est un réel encouragement pour l’équipe Telegrafik, dans un contexte de lancement de différentes offres de services connectés favorisant le maintien à domicile des personnes fragilisées ou âgées.

Prix Jeune Entrepreneur

 

ILS PARLENT DE NOUS : Bpifrance, accompagne les entreprises pour faire émerger les champions de demain

Carole Zisa-Garat, de l’industrie automobile à l’autonomie des seniors

 Article paru le 3 mars 2015, Auteur : Hugues-Olivier Dumez

La jeune femme prend un virage professionnel à 180 degrés en lançant sa start-up.

Carole Zisa-Garat

 Elle voulait quitter la monotonie, elle a lancé Otono-me : un service d’alerte et de monitoring pour personnes fragilisées.

Jusque-là, le parcours professionnel de Carole Zisa-Garat n’avait pas grand chose à voir avec le maintien à domicile et l’économie des seniors. Diplômée de l’Ecole des Mines de Paris, cette trentenaire a démarré sa carrière professionnelle dans l’industrie automobile, en région parisienne. Carole Zisa-Garat décide pourtant de quitter son statut confortable de salariée pour lancer en 2013 sa propre start-up Telegrafik. « Notre ambition est de devenir un acteur incontournable de la Silver économie en France mais aussi dans le monde », explique-t-elle avec un ton pourtant modeste. Mais l’entrepreneuse a raison d’être confiante. Tant son projet Otono-me, accompagné par le LAAS-CNRS (Laboratoire d’analyse et d’architecture des systèmes) de l’Institut Carnot, rend obsolète le traditionnel médaillon de téléassistance que l’on demande à la personne âgée de porter sur elle. « Notre service de télésurveillance est non-intrusif, précise Carole Zisa-Garat. Des capteurs sont installés dans le domicile et dès qu’une anomalie est détectée, une alerte est envoyée par SMS aux proches ou vers un plateau d’assistance. »

[…]

 

Lien vers l’article complet : ici

Ces dernières semaines chez Telegrafik !

Nous avons accueilli deux nouvelles recrues dans l’équipe Telegrafik :

Moussa Camara, étudiant à l’INSA, contribuera à l’avancée des travaux en Data Science accompagné de Léonardo Noleto, expert Big Data.

Frédéric Cabestre, développeur senior, nouveau Scrum Master des développements. Il rythmera les phases de développement de l’entreprise en ne perdant pas de vue l’esprit Lean de la start-up.

 

Moussa
Moussa Camara

De plus, nous avons reçu vendredi 13 février la visite exceptionnelle d’Axelle Lemaire, secrétaire d’état chargée du numérique, au Grand Builder à Toulouse. Lors de son périple « pirate » organisé par l’équipe d’ekito, Axelle Lemaire a pu entrevoir les travaux menés par Telegrafik lors d’une séance de travail sur le service OTONO-ME avec le designer Thomas Guillaumot.

Axelle Lemaire-Inauguration
Axelle Lemaire a inauguré le mur du Grand Builder : « The future, my friend »

 

ILS PARLENT DE NOUS : YAHOO Finance, l’actualité en France et dans le monde

Paru le 20 février 2015

Que va faire Martin Malvy à Bruxelles la semaine prochaine ?

Opération séduction la semaine prochaine à Bruxelles pour Martin Malvy. C’est en effet une grosse délégation midi-pyrénéenne qui s’apprête à rejoindre la capitale européenne mercredi 25 février. Le président du Conseil régional, accompagné des vices-président(e)s Gérard Onesta, Vincent Labarthe, Nadia Pellefigue et Didier Cujives, se déplace aux deux jours afin de parler industrie et réforme territoriale.

Plusieurs chefs d’entreprise emblématiques de la région seront du voyage : Daniel Benchimol, président de Digital Place, Carole Zisa-Garat, présidente de l’entreprise Telegrafik, Daniel Segonds, président du pôle Agri Sud Ouest Innovation et président de RAGT, et Jean-Claude Maillard, PDG de Figeac Aéro.

[…]

 

ILS PARLENT DE NOUS : LA TRIBUNE-BOURSE, QUOTIDIEN EN LIGNE DE L’INFORMATION ÉCONOMIQUE

Article paru le 20 février 2015, Auteur : Hugues-Olivier Dumez

La ville rose prend soin de ses cheveux blancs

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La start-up Telegrafik veille  sur les domiciles

« Autour de la « Silver économie« , cela foisonne ! Reste à trouver le bon modèle économique, nuance Philippe Prigent, directeur du pôle de compétitivité. La sécurité sociale ne pourra plus assumer seule le financement. Qui des familles, des assurances ou des mutuelles pourront prendre en charge le maintien à domicile ? La France doit redéfinir rapidement son modèle si l’on ne veut pas se faire doubler par la concurrence étrangère. »
Fidèle à son rôle d’animateur de la filière, en partenariat avec la Région, le pôle Cancer-Bio-Santé était présent en décembre dernier lors du salon Silver Economy Expo de Paris. Cinq entreprises régionales y étaient représentées, dont Telegrafik. Labellisée par le pôle de compétitivité, en lien avec le Gérontopôle et le Laas-CNRS, cette start-up développe un service de télésurveillance rendant obsolète le traditionnel médaillon de téléassistance que l’on porte sur soi. « Notre solution est non intrusive, souligne Carole Zisa-Garat, diplômée de l’Ecole des mines de Paris. Cinq capteurs sont installés dans le domicile de la personne. Dès qu’une anomalie est détectée, une alerte est automatiquement envoyée par SMS aux proches ou vers un plateau d’assistance. »
La jeune femme garde en mémoire les 15 000 décès lors de la canicule de 2003. « Tout le monde est concerné par le maintien à domicile. Notre projet « OTONO-ME » de télésurveillance peut aussi s’installer ponctuellement, par exemple après une hospitalisation ou en cas de handicap. »

Au total, Midi-Pyrénées revendique 20 laboratoires et 200 entreprises impliquées dans l’économie des services aux seniors, à l’image de Topcher, avec son fauteuil électrique capable d’emprunter un escalier, ou de Smart Rosks, qui détecte la perte d’autonomie en analysant les compteurs d’eau et d’énergie pour collecter des données de consommation. 
Retenue par le gouvernement en 2014 parmi les cinq territoires pilotes de la « silver économie », la Région a voté un plan 2014-2016 de 15 millions d’euros pour accompagner et financer la filière. Dans la foulée, un appel à projets Silvereco 2015 a été lancé avec une limite de dépôt des candidatures au 25 février prochain. Il y a fort à parier que des projets tels que « Respect » (semelles intelligentes) ou « OTONO-ME » (télésurveillance) se retrouvent dans les dossiers de candidature. Pourquoi pas lauréats ?

 

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