Une jeune entreprise de Midi-Pyrénées TELEGRAFIK et son service Otono-me, un service d’alerte pour personnes âgées vivant seules à domicile viennent d’être retenus pour intégrer lors de la saison 2 l’Orange Fab, l’accélérateur des start-up d’Orange. Créée à Toulouse en septembre 2013 par Carole Zisa, l’entreprise TELEGRAFIK, après être passée par Nubbo, l’incubateur, a lancé son système de téléassistance en 2014. En février dernier, c’est la société toulousaine Pixience avec son dermoscope numérique qui avait été sélectionnée par l’accélérateur Orange Fab pour la saison 1. Comme pour TELEGRAFIK, c’est la seule entreprise de la région à avoir été retenue pour ce programme.
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Ils parlent de nous : ObjectifNews.com, Le monde économique et politique en direct
Stéphane Richard a présenté les principales innovations d’Orange
Article paru le 6 octobre 2014.
Entreprise, maison, santé, transport : Orange dévoile ses innovations pour un futur ultra-connecté
Seul en scène, comme Steve Jobs en son temps. Stéphane Richard, PDG d’Orange, a présenté le 2 octobre, à Paris, une vingtaine d’innovations dédiées à la maison, au travail et à la mobilité. Certaines de ces solutions ont été codéveloppées en Midi-Pyrénées, au sein de l’Orange Lab de Blagnac. Zoom sur les outils de mobilité de demain made in Orange.
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E-santé et école numérique
Certaines innovations sont liées au secteur de la santé. Le Parcours ambulatoire d’Orange Healthcare, qui sera lancé au premier semestre 2015, permettra ainsi d’accompagner les patients avant et après une intervention. Initiée cet été en Aquitaine, la Télé-AVC d’Orange Healthcare permet la téléconsultation avec un neurologue ou un radiologue lorsqu’un urgentiste soupçonne un AVC. Développé par la start-up toulousaine TELEGRAFIK, sélectionnée par Orange Fab, Otono-me est un service de téléassistance permettant de favoriser le maintien à domicile des personnes âgées ou fragilisées. Il sera disponible courant 2015
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Show Hello : Orange mise sur les objets connectés et le Big Data
Plate-forme Big Data, commercialisation des données réseaux, voiture et maison connectées, solutions numériques pour les PME et TPE, paiement mobile, 4G+ et arrivée de Netflix constituent les principales nouveautés de rentrée d’Orange.
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Education et santé à l’heure numérique
« La tablette est l’ardoise du 21e siècle », s’est également réjouit Stéphane Richard pour présenter Ecole numérique, une offre visant à faire basculer les classes dans l’ère numérique en apportant outils (tablettes connectées, vidéoprojecteur) et formation des enseignant. Les technologies numériques en réseau viennent aussi au secours du secteur de la santé. Notamment avec Parcours ambulatoire (prise en charge et suivi d’une hospitalisation), Télé-AVC (diagnostic distant en urgence) et Otono-me (maintient à domicile).
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TELEGRAFIK et le Big Data
Le « Big Data » est devenu l’expression incontournable à intégrer dans son discours lorsque l’on est une entreprise de collecte et d’analyse des données. Mais avant de l’utiliser à tort et à travers, il est bon de faire une piqûre de rappel et de clarifier cette notion âgée déjà de presque 15 ans !
Le Big Data est bien souvent représenté simplement grâce aux 3V :
– Vélocité : le nombre de données récoltées sont générées de plus en plus rapidement.
– Variété : les données captées sont de natures de plus en plus différentes.
– Volume : le volume des données générées et stockées sont de plus en plus importantes de nos jours.
Quelle est notre approche du sujet chez TELEGRAFIK sur ces 3V ?
VÉLOCITÉ
Grâce à notre service OTONO-ME, nous recevons de plus en plus de données de plus en plus rapidement en fonction du nombre de clients test que nous ajoutons, leur assurant un maintien à domicile en sécurité.
VARIÉTÉ
Notre téléassistance innovante nous permet de capter des données de différentes natures telles que des données de présence, des données de mouvements, ou des données d’ouverture de porte.
VOLUME
Nous récoltons un grand nombre de données par le biais de nos capteurs nous permettant de prédire la dégradation de santé des personnes âgées ou fragilisées équipées mais aussi de détecter des anomalies dans le domicile de ces personnes, permettant de rassurer efficacement les proches et souvent aidants familiaux de la personne.
TELEGRAFIK a pour vocation d’offrir un service à forte valeur ajoutée à ses clients; cela va donc bien au-delà de la technique. Nous proposons des services connectés intergénérationnels au service des familles, tout en veillant à respecter leurs souhaits et leur intégrité. En effet, les données récoltées et utilisées sont protégées et ont pour seul objectif de leur faciliter la vie, de les rassurer et de les sécuriser au quotidien.
Sources :
http://www.lemonde.fr/sciences/article/2014/01/27/trois-defis-pour-les-maths_4355210_1650684.html
http://www.piloter.org/business-intelligence/big-data-definition.htm
Cinq projets retenus par la Région Midi-Pyrénées dans le cadre de la 2e édition de l’appel à projets sur les technologies numériques Agile IT
La présence des Technologies Numériques dans les produits industriels, dans les réseaux de transport, d’énergie et de télécommunications ou dans le secteur public (e-santé, e-éducation) fait de ce secteur un catalyseur de la croissance de demain.
Ainsi, la Région Midi-Pyrénées a-t-elle lancé la deuxième édition d’Agile IT, l’appel à projets sur les Technologies Numériques afin de soutenir des projets industriels novateurs et de favoriser la mise en œuvre de compétences transverses. Cinq projets ont été retenus dans le cadre d’Agile IT :
[…]
- TELEPASS porté par TELEGRAFIK, également avec le LAAS-CNRS sur un service d’alerte connecté pour personnes âgées isolées
[…]
MPE accompagne certaines de ces entreprises comme Unitag, MyFeelBack, MyFox et Naio Technologie. www.midipyrenees.fr/AGILE-IT
TELEGRAFIK a été sélectionné par l’Orange Fab France
C’est officiel ! TELEGRAFIK fait partie des heureux élus qui intègrent la deuxième saison de l’Orange Fab France, l’accélérateur d’Orange. La phase de sélection a été rude puisque seules 5 start-ups ont été sélectionnées. Le projet OTONO-ME a donc fait l’unanimité auprès du jury de l’Orange Fab.
Nous bénéficions d’ores et déjà, depuis le 15 septembre 2014, des conseils d’experts du groupe ainsi que de sa visibilité médiatique.
L’objectif de cette accélération de 3 mois est d’aider les start-ups françaises ayant développé un produit innovant à accéder plus facilement au marché, aux canaux de distribution et à l’expertise des équipes d’Orange.
Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site d’Orange Fab France : http://www.orangefab.fr/
Aidants familiaux en France : un milieu encore en structuration
8 millions ! C’est le nombre total estimé d’aidants familiaux âgés de plus de 16 ans en France. Parmi ces personnes, il y en a environ 4 millions aidant au moins une personne de leur entourage âgée de plus de 60 ans.
Mais, quelle est la définition précise d’un aidant familial : c’est « la personne non professionnelle qui vient en aide à titre principal, pour partie ou totalement, à une personne dépendante de son entourage, pour les activités de la vie quotidienne »[1]. Cette aide peut prendre plusieurs formes : que démarches administratives, soutien psychologique, ou encore soins quotidiens.
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Les chiffres
Le monde des aidants familiaux est majoritairement composé de femmes. Ainsi, dans 66% des cas, ce sont des femmes qui prennent soin de leurs proches âgés de plus de 60 ans.
En règle générale, un aidant familial possède un lien direct avec la personne aidée. La moitié d’entre eux sont les enfants de la personne âgée et dans un tiers des cas l’aidant familial est le conjoint.
L’âge moyen des aidants familiaux est de 55 ans. Une grande majorité d’entre eux sont donc en âge de travailler. 61% de ces personnes ont moins de 60 ans et doivent donc jongler entre leur vie professionnelle et leur vie d’aidant. 37% d’entre eux sont des aidants familiaux âgés de plus de 60 ans, et dans ce cas leur propre vieillesse entre en considération et peut poser des problèmes.
Enfin, on estime qu’un aidant a procuré une aide à un proche pendant en moyenne 16 ans.
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Les enjeux
De ce fait, de forts risques d’épuisements pour ces personnes sont à prévoir, d’un point de vue physique ou moral. Il y aurait effectivement deux aidants sur dix ressentant une forte fatigue morale ou physique. Toutefois, les aidants familiaux ne sont pas toujours conscients de leur degré d’épuisement par déni ou par culpabilité. Des dépressions touchent un aidant sur deux au bout de deux à trois ans.
C’est pourquoi il est important pour ces personnes de pouvoir partager leurs épreuves du quotidien sans jugement et d’avoir les conseils de personnes ayant vécu les mêmes expériences. De nombreux blogs, institutions, associations et entreprises sont au service des aidants familiaux. Ils peuvent leur prodiguer des conseils, des formations, des logements d’accueil de « répit » s’ils ont besoin de se reposer quelques temps, des financements…
Ces personnes sont soutenues financièrement mais seulement 16% des aidants estiment suffisants les apports financiers qu’ils perçoivent. De surcroît, il est encore peu commun de s’absenter de son lieu de travail de manière régulière afin de soutenir une personne âgée par exemple.
Le milieu des aidants familiaux est en pleine structuration depuis quelques années mais il reste encore un grand nombre d’étapes à franchir avant que ces personnes puissent recevoir l’aide suffisante allégeant leur quotidien.
Sources :
DRESS (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques)
[1] Source : Charte européenne de l’aidant familial
Santé connectée ou bien-être connecté ?
Le quantified self est une vraie tendance de fond, et les bracelets et montres connectées nous permettent de suivre un grand nombre d’informations nous concernant. Le marché des objets connectés en France devrait atteindre les 500 millions d’euros en 2016[1], soit une croissance de 50% en 3 ans. Mais la question que l’on pourrait se poser est la suivante : quelle est la différence entre la santé connectée et le bien-être connecté ?
Il existe bel et bien une différence majeure entre ces deux domaines de la e-santé.
1. La précision.
Le bien-être connecté correspond à tous les produits tels que les balances connectées, les bracelets et montres connectés qui sont d’ores et déjà plébiscités par les français. Ce type de produits nous fournit des informations sur notre « santé » (notre poids, le nombre de pas effectué au quotidien…) et peuvent être mis dans la catégorie de produits « loisirs ». Néanmoins, comme le gériatre du CHU de Toulouse Antoine Piau le mentionnait à l’université d’été de la e-santé 2014, ce type de produit fournit des informations encore imprécises. Il en a fait l’expérience en équipant son équipe de 6 traqueurs différents du marché pendant quelques semaines : l’analyse des résultats a ensuite montré qu’il y avait une discordance entre les données des différents dispositifs. Cette différence est problématique et ces produits ne sont donc pas encore exploitables ou valables sur le plan médical.
La santé connectée, contrairement au bien-être connecté, est une mesure fiable. Effectivement, des instruments tels que le tensiomètre ou le glucomètre permettent d’aider les médecins, entre autres, à connaître l’état de santé de leurs patients de manière précise afin de pouvoir les traiter plus efficacement.
2. De nombreuses technologies sont encore mal ciblées ou pas encore diffusées de manière efficiente. On peut citer par exemple la brosse à dent connectée. Au premier abord, on peut penser que ce type de produit n’est autre qu’un gadget de plus appartenant à la catégorie du « bien-être connecté », mais cela peut au contraire être un produit très avantageux pour certaines pathologies.
On peut donc dire que la différence est encore marquée entre le bien-être connecté et la santé connectée. Toutefois, les données récoltées par les bracelets connectés, par exemple, seront de plus en plus précises, et les frontières entre ces deux types de produits s’effaceront peu à peu.
Sources :
http://www.journaldunet.com/ebusiness/le-net/marche-objets-connectes-selon-xerfi.shtml
[1] Selon une étude menée par notre partenaire Xerfi, d’après les données de GFK, L’Atelier BNP Paribas, Ifop, NPD et Strategy Analytics
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#Management: Les makers seraient-ils les parfaits co-fondateurs pour monter une startup?
Fin mai, à l’occasion du festival « La Mêlée Numérique », une conférence ayant pour thème « Les makers, c’est aussi des startups » avait rassemblé plusieurs intervenants dont Aymeric Barthes, co-fondateur de Naio Technologies, Carole Zisa-Garat, fondatrice de Telegrafik et Simon Vacher, co-fondateur de Wimha. Leur point commun? Ils sont tous les 3, de près ou de loin, impliqués dans le mouvement des makers.
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2 autres cas d’école, Carole Zisa-Garat, fondatrice de TELEGRAFIK s’est intéressée au mouvement des makers le jour où elle a souhaité concrétiser son idée. En se rapprochant des associations locales, elle a pu s’inspirer et adopter leur mode de fonctionnement pour lancer Otono Me, un système d’alerte discret pour personnes âgées. Une idée qu’elle n’aurait sans doute pas pu réaliser, sans l’appui de la communauté des makers locales, notamment animée par Benjamin Bohle-Roitelet, fondateur du tech studio, Ekito.
[…]
Université d’été de la e-santé 2014 : bilan positif !
La huitième édition de l’université d’été de la e-santé a eu lieu du 2 au 4 juillet à Castres, réunissant des acteurs incontournables de l’e-santé et de la Silver Economie, tels que Inter Mutuelle Assistance,Thales, Withing, ou encore Pierre Fabre.
L’équipe de TELEGRAFIK était là, et a participé à différents ateliers et conférences. La discussion intitulée « les objets connectés : où allons-nous en terme d’usage ? » a notamment retenu notre attention, l’accent ayant été mis sur la différence entre le bien-être dans la santé et la santé connectée.
Mais surtout, Carole Zisa-Garat était présente en tant que membre de la filière Silver Economie au premier comité régional de filière, présidé par Martin Malvy, président du conseil régional de Midi-Pyrénées. Un bilan des étapes déjà franchies a été tiré lors de cette réunion, et les prochains grands axes de travail ont été présentés, avec notamment la mise en place de quatre commissions de travail :
- Innovation,
- Territoires,
- Ethique et responsabilité,
- Stratégie globale.
Nous pensons que cette nouvelle organisation permettra de contribuer à la structuration d’une filière d’excellence :
- en soutenant l’innovation,
- en favorisant les transferts de technologies et la coopération entre les acteurs,
- et enfin en contribuant à la mise en œuvre opérationnelle et marché des initiatives.
5 questions que l’on se pose quand on souhaite obtenir l’agrément de services à la personne
1) Qu’est-ce que l’agrément de services à la personne ?
L’agrément est une autorisation administrative permettant à un organisme d’attester de la qualité de ses prestations et de bénéficier d’avantages sociaux et fiscaux : la TVA à 5,5%, le crédit d’impôt sur le revenu ou des exonérations de charges sociales.
L’agrément est valable pour une durée de cinq ans et renouvelable. Sa portée est départementale. En effet, si l’entreprise souhaite exercer son activité, à plus long terme, dans plusieurs départements, elle doit obtenir l’avis du président du conseil général du département concerné.
2) Il existe deux niveaux en matière de services à la personne. Quelles en sont les différences et les spécificités ?
D’une part, il existe la déclaration d’activité[1] qui n’est pas obligatoire pour exercer. Néanmoins, pour pouvoir bénéficier des avantages fiscaux et sociaux, cette déclaration doit obligatoirement être faite.
D’autre part, il existe également l’agrément[2] qui est, contrairement au précédent, indispensable pour les structures s’adressant à des publics fragiles (assistance aux personnes âgées fragilisées, les services aux personnes dépendantes ou en situation de handicap ainsi que la garde d’enfants de moins de 3 ans).[3]
3) Comment obtenir l’agrément ?
Pour obtenir l’agrément, certaines conditions sont requises :
– Respecter scrupuleusement un cahier des charges, composé d’une cinquantaine de points et rédigé par l’Agence nationale des services à la personne[4].
– Exercer exclusivement une ou plusieurs activités de services à la personne et ce au domicile de la personne. Dans le cas où l’entreprise souhaite avoir une activité secondaire, elle doit créer une nouvelle société (sauf exceptions pour certains organismes).
– Être en mesure de fournir les moyens (humains, financiers et matériels) suffisants pour pouvoir exercer l’activité dans les meilleures conditions.
– Transmettre chaque mois un état statistique à la DTTEFP [5] et établir tous les ans un bilan annuel qualitatif et quantitatif de l’activité en reprenant les moyens mis en œuvre afin d’appliquer le cahier des charges.
– Avoir une charte de qualité unique à tous les établissements, dans le cas où l’entreprise possède plusieurs établissements.
– Le dirigeant ne doit pas avoir fait l’objet d’une condamnation depuis moins de 10 ans pour une infraction[6] et il ne doit pas être inscrit au fichier judiciaire national automatisé des auteurs ayant fait d’infractions sexuelles, dans le cas où l’activité est directement liée avec les mineurs.
4) Quelles activités sont soumises à l’agrément ?
Les activités soumises à l’agrément sont les suivantes :
– L’assistance aux personnes en situation de handicap (garde d’enfants en situation de handicap, aide aux actes essentiels de la vie quotidienne…) et/ou âgées ; ainsi que l’accompagnement de ces personnes à l’extérieur de leur domicile.
– La garde à domicile et l’accompagnement (hors domicile) des enfants de moins de 3 ans.
– La garde des malades, n’ayant pas besoin de soins spécifiques, que ce soit de jour comme de nuit.
– L’aide à la mobilité et au transport de personnes en difficulté pour se déplacer à l’extérieur de leur domicile. Il existe également la prestation de conduite du véhicule personnel des personnes dépendantes pour une personne qualifiée.
5) À qui s’adresser pour l’obtenir ?
Afin d’obtenir cet agrément, il faut entrer en contact avec la DIRECCTE[7]. L’instruction du dossier peut durer entre deux et trois mois. Ensuite, des contrôles sont effectués par des services de l’état afin de vérifier que les conditions requises spécifiées soient correctes.
L’agrément est ensuite délivré par le préfet du département dans lequel se situe le siège social de l’entreprise.
Finalement, la décision d’agrément est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture et est communiquée à l’Agence nationale des services à la personne ainsi qu’à l’URSSAF.
Sources :
http://www.dgcis.gouv.fr/services-a-la-personne/agrement
http://www.cci.fr/web/entreprises/l-agrement
http://vosdroits.service-public.fr/professionnels-entreprises/F23633.xhtml
http://www.creersaboite.fr/actualites/lagrement-en-bref
http://www.entreprises.gouv.fr/services-a-la-personne
[1] Anciennement « agrément simple »
[2] Anciennement « agrément qualité »
[3] Article L. 7231-1 du Code du travail
[4] Voir la liste fixée par l’article D7231-1 du Code du travail
[5] Direction départementale du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle
[6] Se référer à l’article. L.128.1 du Code du Commerce
[7] Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi
Naïo Technologies remporte le Grand Prix de l’Economie Numérique 2014
La cérémonie de remise des 12èmes Trophées de l’Economie Numérique a eu lieu lors du salon La Mêlée Numérique, le 27 mai 2014 au Centre des Congrès Diagora à Toulouse-Labège. Concours désormais incontournable en Midi-Pyrénées, les Trophées de l’Économie Numérique mettent à l’honneur le savoir-faire et les initiatives des organisations humaines dans le développement de solutions et applications numériques remarquables. Pour cette 12ème édition, c’est Naïo Technologies qui décroche le Grand Prix de l’Economie Numérique.
[…]
• Prix Spécial Coup de Cœur Christine Empociello
TELEGRAFIK est un projet de services pour les personnes âgées vivant seules à leur domicile et leurs familles. Le principe : un système d’alerte non intrusif pour les personnes âgées susceptibles de faire l’objet d’une chute ou de se trouver en état de fragilité.
Les Toulousains de Naïo Technologies, grands vainqueurs des Trophées de l’Économie numérique
C’est un des temps forts du salon La Mêlée Numérique : la 12e édition des Trophées de l’Économie numérique a récompensé hier mardi 27 mai neuf entreprises de Midi-Pyrénées. Objectif : mettre en avant le savoir-faire, les innovations et les initiatives locales dans le secteur du numérique. Le Grand Prix a été remis par Jean-Luc Moudenc à la société Naïo Technologies.
Accompagnée par MPI, Telegrafik est le Coup de Cœur du jury des Trophées de l’Economie Numérique
Le jury des Trophées Numériques, organisés par la Mêlée numérique a attribué le Prix Spécial Coup de Cœur Christine Empociello à la PME toulousaine TELEGRAFIK. Start-up issue de Nubbo l’incubateur, Telegrafik a été primée pour son projet Otono-me.
Prix coup de cœur décerné à OTONO-ME by TELEGRAFIK !
L’incontournable concours des Trophées de l’Économie Numérique fêtait sa douzième édition hier soir à Toulouse lors de la Mêlée Numérique. Le jury composé d’experts, de journalistes, des vainqueurs de l’année précédente ainsi que de partenaires de cet évènement ont décidé de remettre le prestigieux prix du « Coup de cœur Christine EMPOCIELLO » à l’entreprise TELEGRAFIK pour l’originalité de son service innovant OTONO-ME.
OTONO-ME, le service innovant récompensé lors de la Mêlée Numérique
Les Trophées de l’Économie Numérique ont pour objectif de mettre à l’honneur les initiatives ainsi que le savoir-faire des entreprises dans le développement et la mise en application de solutions et applications numériques hors du commun. Lors de cette soirée, et en présence de Jean-Luc Moudenc, président de Toulouse Métropole, Carole ZISA-GARAT, présidente et fondatrice de la start-up TELEGRAFIK, a eu l’honneur de recevoir le trophée « Coup de cœur Christine EMPOCIELLO », qui lui a été décerné par Didier GARDINAL, Président de la CCI Midi-Pyrénées.
OTONO-ME by TELEGRAFIK, c’est le système d’alerte innovant pour les personnes âgées ou fragilisées vivant seules à leur domicile. Pourquoi OTONO-ME a-t-il été récompensé ? Ce service est une innovation majeure dans le domaine de la téléassistance, puisque que la personne âgée vivant seule dans son domicile n’a pas besoin de porter de médaillon ou de bouton d’appel pour être sécurisée. Composé de capteurs disposés dans le domicile de la personne, le système exerce une vigilance bienveillante, au service des familles. Pour en savoir plus : www.telegrafik.fr
Pour télécharger le communiqué de presse : ici
Naïo Technologies s’adjuge le grand prix des Trophées de l’économie numérique
Nouvelle récompense pour Naïo Technologie. Après avoir été honorée entre autres lors du Prix Galaxie 2012 ou du concours Inn’Ovations cette année, la jeune pousse toulousaine vient de se voir attribuer le grand prix des Trophées l’économie numérique ce mardi 27 mai. La société, qui développe un petit robot agricole baptisé Oz, vient récemment d’intégrer le réseau des pépinières d’entreprises de Toulouse Métropole.
OTONO-ME by TELEGRAFIK lauréat du trophée « Coup de Cœur Christine EMPOCIELLO » !
Lors de la cérémonie de remise des 12ème trophées de l’Economie Numérique du 27 mai 2014, Carole ZISA-GARAT s’est vue remettre le trophée « Coup de Cœur Christine EMPOCIELLO » pour son projet OTONO-ME, et a reçu les félicitations de Didier GARDINAL, Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Midi-Pyrénées.
Ce trophée récompense les travaux menés par TELEGRAFIK pour proposer à ses clients le service OTONO-ME, qui a su convaincre le jury par son intérêt et son potentiel.
Félicitations OTONO-ME pour ce prestigieux trophée !
Discours de Carole ZISA-GARAT lors de la remise de trophée.
Moins de 5% des plus de 65 ans en France ont la téléassistance chez eux !
11 848 343 personnes en France ont plus de 65 ans[1] et seulement 500 000 personnes sont équipées d’un service de téléassistance, soit moins de 5% de cette population. En Angleterre par exemple, la téléassistance est présente chez près de 2 millions de personnes, soit environ 20% des plus de 65 ans[2].
Ces chiffres démontrent clairement que la population française utilise encore très peu ce service. Comment-peut-on expliquer ces chiffres ?
La téléassistance traditionnelle, un service arrivé à maturité
La téléassistance existe en France depuis près de 30 ans et ce marché s’élevait à 79,2 MEUR en 2010[3], avec notamment des grands noms tels que Présence verte, et Mondial Assistance.
La majorité des personnes équipées possède la téléassistance dite classique ou traditionnelle, c’est-à-dire avec médaillon ou bouton d’appel à porter sur soi. Or, on sait que dans 20 à 50% des cas, la personne ne portait pas son médaillon lors d’une chute.
De plus, porter un médaillon ou bracelet peut faire naître chez ces personnes âgées un sentiment de stigmatisation de la dépendance et d’isolement[4].
Enfin, de nombreux séniors ont peur d’introduire des nouvelles technologies dans leur quotidien. Ils peuvent se sentir surveillés ou ne savent tout simplement pas l’utiliser.
La téléassistance, au service des personnes
Malgré ces points négatifs, il est vrai que la téléassistance est un réel atout pour les personnes âgées vivant seules à leur domicile ainsi que pour leurs proches. Ce service est sécurisant et rassurant.
Néanmoins, de nouvelles technologies doivent naître afin de faciliter l’usage de ce service pour les personnes équipées et veiller à leur maintien à domicile de manière optimale, en augmentant notamment le taux d’efficacité de l’envoi des alertes, et en assurant la bonne adéquation des mesures de secours déployées en cas de problème.
De la téléassistance classique à la téléassistance innovante
De nombreuses innovations ont été développées en Europe dans le domaine, comme notamment la détection de problèmes concernant l’environnement (détecteurs d’intrusion, d’incendie, de gaz…), les détecteurs de chute (systèmes avec accéléromètre intégré), ou les téléassistances mobiles (téléphones adaptés et géolocalisés pour les seniors).
Ces nouvelles technologies sont complétées par des systèmes type domotique, comme notre service de téléassistance innovante OTONO
-ME. En effet, des capteurs autoapprenants à infra-rouge passif, et non des caméras, sont installés dans le logement de la personne âgée ou fragilisée afin de la protéger sans qu’elle n’ait besoin de déclencher d’alarme. Cette téléassistance innovante est discrète et complètement autonome. Plus besoin de médaillon ou de bouton d’appel à porter sur soi, la personne vit normalement et en oublie même qu’elle est équipée d’un service de téléassistance !
L’enjeu est maintenant pour ces nouvelles technologies d’accéder au marché et de venir enfin proposer aux clients des services allant bien au-delà des fonctionnalités actuelles des boutons d’appel. Un service comme OTONO-ME protège en effet la personne fragilisée, mais il rassure et informe également ses proches, et permet aux professionnels du secteur de l’aide à domicile d’être plus efficaces et réactifs durant leurs interventions.
Sources images :
Bouton téléassistance Tunstall : http://www.tunstall.nl/fr/aandachtsgebieden/87-chutes/producten/79-myamie.html
Capteur infrarouge passif OTONO-ME
[1] Source : INSEE au 1er janvier 2014
[2] Source : http://www.statistiques-mondiales.com/royaume_uni.htm
[3] Eurostaf
[4] Eurostaf
TELEGRAFIK a présenté OTONO-ME à la Mêlée Numérique
TELEGRAFIK était à la Mêlée Numérique !
TELEGRAFIK était présent le 27 mai 2014 à l’espace Diagora de Labège lors de la Mêlée numérique.
Nous avons eu l’occasion de présenter notre service d’alerte innovant pour personnes âgées ou fragilisées : OTONO-ME by TELEGRAFIK.
De plus, Carole ZISA-GARAT a participé à deux tables rondes enrichissantes :
- « Innover dans la santé, c’est facile! », durant laquelle elle a pu débattre en compagnie d’acteurs majeurs de l’innovation des avancées en matière de santé, de leurs réalisations et de leurs projets.
- « Les makers, c’est aussi des startups », où elle a pu témoigner de son expérience en tant que startupeuse.
Nous pouvons faire un bilan très positif de cet événement. Nous avons rencontré des acteurs intéressants et intéressés par notre service innovant OTONO-ME. Enfin, de futurs partenariats sont à envisager.